Pour inspirer confiance, être adoptés et durer, solutions et systèmes doivent satisfaire aux plus hautes exigences de qualité logicielle.
Le développement logiciel vit un âge d’or.
On ne compte plus les appareils et services dont le fonctionnement repose en partie ou en totalité sur un logiciel ou une suite de logiciels. Voiture, caméra, pompe à essence et terminal de paiement, système de chauffage et de ventilation, système de paye, bracelet « intelligent », simulateur cardiaque et téléphone, les logiciels sont partout et certains nous accompagnent dans tous les aspects de notre vie. C’est simple : nous ne pouvons plus nous en passer.
Cette omniprésence des logiciels et la dépendance qui vient avec certains objets la vie quotidienne (peut-on vivre sans téléphone intelligent?) soulève plus d’un enjeu; et pas seulement des enjeux de santé publique. Pas un mois ne passe sans que les actualités rapportent une défaillance logicielle ayant des impacts parfois tragiques.
En vrac :
- Juin 2019 : « Positive Technologies, spécialiste de la sécurité des entreprises, publie un nouveau rapport sur la sécurité des applications mobiles. » Que vous « chaussiez » iOS ou Android, le constat est accablant: trois applications sur quatre présentent des failles de sécurité majeures pouvant affecter vos données personnelles.
- Mai 2019 : « Baltimore paralysée par un virus informatique en partie créé par la NSA. […] L’un des composants de ce programme virulent a été créé par les services secrets américains qui ont exploité une faille du logiciel Windows de Microsoft. »
- Mars 2019 : « Le rapport préliminaire de la commission d’enquête sur le crash du vol Ethiopian Airlines, qui a fait 157 morts le 10 mars dernier, confirme que la catastrophe ne vient pas d’une erreur humaine. » Ses conclusions mettent plutôt l’accent sur la défaillance du logiciel d’antidécrochage de l’appareil.
- Janvier 2019 : « Cela fera bientôt trois ans que le système de paye Phénix et la centralisation du traitement de la paye de plus de quarante ministères fédéraux plongent dans l’incertitude financière des dizaines de milliers de fonctionnaires. […] Certains ont été privés de leur salaire pendant des semaines, voire des mois. D’autres ont reçu des paiements en trop. Plusieurs n’ont pas été payés pour leurs heures supplémentaires ou ont reçu des relevés d’emploi ou d’impôt erronés… »
- Janvier 2019 : « Revers pour l’Américain Lime et ses trottinettes électriques. En Suisse, tout son parc a dû être retiré des rues à cause de freinages intempestifs. Un problème logiciel serait en cause. »
- Janvier 2019 : « Une étude du MIT Media Lab, a établi que Rekognition, le logiciel de reconnaissance faciale développé par Amazon, multiplierait les erreurs majeures. […] Le logiciel confondrait des femmes au teint foncé avec des hommes. »
- Octobre 2018 : « Dominion Voting Systems, la compagnie mandatée par 51 municipalités ontariennes pour gérer le vote électronique, a admis lundi que celles-ci avaient toutes été touchées par des pannes et des ralentissements importants. […] L’incident relance un débat épineux : est-ce transparent et sécuritaire de confier à une multinationale le droit exclusif de gérer nos données électorales? »
Les exemples abondent, mais une chose est sûre; la multiplication des défaillances logicielles ébranle la confiance du public dans les objets qu’il utilise au quotidien. Il n’y a pas si longtemps, même s’il n’avait de formation en mécanique, le consommateur moyen savait grosso modo comment fonctionne sa voiture : on tourne la clé, on embraye, on « pèse su’l gaz ». Nous n’en sommes plus là, pour le meilleur et trop souvent, pour le pire.
Avec la complexité et l’interconnexion croissante des produits et services dont le fonctionnement repose sur des logiciels, le consommateur (qui ne s’intéresse pas aux logiciels, mais aux produits et service qu’ils rendent possible) est en droit de se poser cette question : peut-on se fier aux logiciels pour construire des objets, systèmes et applications sécuritaires et fiables?
En réponse à cette question, les développeurs doivent au plus vite améliorer la réputation des produits et services qu’ils offrent, donc d’améliorer la qualité des logiciels qu’ils développent.
Offrant des services de développement logiciel, Cofomo est tout à fait conscient de cet enjeu. Depuis 1995, sa crédibilité à titre de fournisseur et partenaire de confiance au sein d’organisations des secteurs privés, publics et parapublics québécois et canadiens repose sur l’excellence de ses processus de développement et de contrôle de la qualité logicielle, l’expertise de ses conseillers et la fiabilité de ses solutions. Quoi qu’il advienne en cours de projet, à sa livraison le logiciel :
- répond aux besoins du client;
- fonctionne comme prévu;
- offre une expérience à valeur ajoutée à ses utilisateurs;
- est stable et sécuritaire;
- et le restera.
C’est une question de réputation.